Plus de matches, plus de suspense avec une poule unique, mais aussi plus de revenus. L’UEFA a augmenté les primes pour les 36 clubs et non plus 32 comme jadis. C’est l’une des compétitions les plus prisées d’Europe, mais c’est un moyen de percevoir beaucoup d’argent.
Tous les clubs participants reçoivent un montant à hauteur de 4,31 millions d’euros. Chaque victoire en phase de groupe offre 450 000 € et chaque nul 150 000 €. La qualification pour les barrages permet de toucher 300 000 € tandis que l’accès aux huitièmes de finale promet 1,75 million d’euros. Les quarts de finale offrent 2,5 millions d’euros, les demi-finales 4,2, la finale 7 millions. Le vainqueur touche une prime qui s’élève à 6 millions d’euros.
Un pilier de « valeur »
C’est l’une des nouveautés. Le nouveau pilier « valeur ». C’est le résultat de la vente des droits médias pour l’Europa League et il s’élève à 198 millions d’euros. Il se base sur la « part de marché » (droits TV) et le « coefficient » (classement des clubs à l’indice UEFA). Un montant divisé en 75 % pour la partie européenne et 25 % pour la partie non européenne.
Le montant disponible pour la partie européenne du pilier « valeur » est divisé en 666 parts. L’équipe la moins bien classée perçoit une part (223 000 euros). Il faut savoir qu’une part est ajoutée pour chaque rang, ce qui fait que l’équipe la mieux classée en perçoit 36.
Le montant disponible pour la partie non européenne du pilier « valeur » est divisé en 666 parts. L’équipe la moins bien classée reçoit une part (74 000 euros). Puisqu’une part est ajoutée pour chaque rang, l’équipe la mieux classée reçoit 36 parts.