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Football

Luis Enrique : « On connaît bien ce stade qui respire le football »

Samy IZABACHENE
Luis Enrique : « On connaît bien ce stade qui respire le football »(C)Getty Images
L’entraîneur du PSG s’est présenté en conférence de presse. Une sortie médiatique à l’occasion du choc des 32es de finale entre Lens et le PSG.

L’affiche de ces 32es de finale de la Coupe de France. Lens accueille le PSG à Bollaert. Pour l’occasion, Luis Enrique s’est présenté en conférence de presse. «  Lens est un bon adversaire, une équipe qui propose un football intense et attractif. On connaît bien cette équipe, et ce stade qui respire le football  », explique l’Espagnol. 

Le PSG s’était déjà imposé 1-0 à domicile contre Lens en Ligue 1. Une victoire grâce à un but d’Hakimi dès l’entame de match (4e) et facilitée par le carton rouge de Khusanov. «  Nous allons affronter un rival, qui peut éventuellement gagner la coupe, avoue Luis Enrique en conférence de presse. C’est le tirage au sort, c'est comme ça. C'est une compétition très belle, on veut gagner. »

La dernière rencontre de l’année civile 

Pour le PSG comme pour Lens, il s’agit de la dernière rencontre de 2024. Un match crucial pour les deux équipes qui veulent aller au bout de la compétition. Direction la trêve hivernale après le match de ce soir. «  Je suis très content de l'effectif. Le mieux lors de chaque mercato, c'est d'être attentif, explique Luis Enrique. C’est difficile d'améliorer notre effectif. On veut développer nos jeunes talents, et on a une très bonne équipe.  »

Paris pourrait se renforcer lors du mercato hivernal. Mais pour l’instant, personne n’est attendue dans la capitale parisienne. «  Il n'y a aucune urgence, aucun besoin en ce moment, mais s'il y a une opportunité de pouvoir améliorer l'effectif, très bien. »

Après son choc face à Singo, Donnarumma est toujours blessé. Son entraîneur a rassuré en conférence de presse. «  Gigio va bien, il n'a pas de douleur. C'est une blessure sans répercussion importante. Il a eu beaucoup de chance que l'impact ne soit pas arrivé sur ses yeux, explique l’Espagnol. Nous avons tous vu les images, pas besoin de les commenter.  »